« Toujours le meme principe, ils brulent ce qu'ils ont adoré. »
Ils essaient de "piloter" l'économie ; et la majorité d'entre nous croit que c'est "bien".
Ça, c'était encore possible, envisageable hier, avec charbonnages de France, comptoir général d'alimentation, un environnement très austère, des clients déjà bien content d'avoir simplement des pâtes dans leur assiette et des gens peu instruits rentrant chez eux épuisés par leurs neuf heures d'usine. Et, peut être plus encore, des gens fidèles à leur(s) fournisseur(s) qui ne changeaient pas de boutique parce que c'est 3 % moins cher ailleurs ou qu'on lui offre un Pin's.
Et que des trucs qu'on fabrique chez nous, s'il te plaît ! Si tu veux acheter des trucs d'un autre pays tu paies à la douane un montant fortement dissuasif !
Today, fini tout ça ! Y revenir ? Soit ! C'est précisément le programme économique du vieux lion qui dit que les crotte des rennes y sentent très mauvais, pour ceux qui me suivent....
Alors ? Ben, today, quand le "pilote" donne un coup de manche à droite, ça fait une aubaine pour certains, qui diront jamais merci d'ailleurs, et une gêne pour d'autres qui, eux, se manifesteront et pas qu'un peu ; d'où que le coup de manche, ben y fait pas bouger la gouverne comme sur un avion. Et que même ça peut être le contraire ou autre chose, on peut même pas savoir à l'avance, et que quand je peux pas savoir à l'avance, moi, je fais rien (mais j'observe) ; quod dubitas ne feceris comme le disaient les pas copains d'Astérix.
Et qu'ils ne peuvent que brûler ce qu'il ont adoré, et que ça va de plus en plus vite, et que bientôt ils vont être obligés de le brûler avant même de l'avoir adoré et que ça, ça va être drôle, quoique pas forcément pour la piétaille qui va encore en prendre plein la gueule, comme d'hab.
Et que si vous voulez que ça aille un peu moins mal demandez simplement qu'ils fassent plus rien, là haut ; et ajoutez même, pour que ça se passe bien, kon leur paiera quand même leurs fêtes et tout ça, que ça nous coûtera moins cher et qui seront contents. Et que leurs fêtes moi, je veux bien les payer si c'est le seul moyen pour qui nous foutent la paix !
Pour ceux qui auraient la nostalgie des pâtes et de la douane, et je sais qu'il y en a beaucoup beaucoup, et ben qui votent pour le vieux lion. Mais que moi c'est pas mon truc, même que c'est les gens comme moi qui sont exactement à l'opposé de la philosophie du vieux lion, et que je ne cesse d'être surpris qui si peu le voit !
Re-alors ?
Ben pour ceux qui sont au château, et que même moi je peux comprendre que la vie qui va avec quand on y est habitué c'est tout tristounet qu'on est à l'idée que ça serait plus, ben on leur dit que malgré les misères qui nous ont faites on leur paiera quand même leur vie de, juré craché et quand c'est nous qu'on promet c'est pas comme eux !
Et pour le reste, y s'amusent mais y nous foutent la paix.
Bon, un truc avec château où l'on s’amuse, un peu désuet, ridicule même, avec des diligences qui se promènent, des princes qui trompent leur princesse et tout un faste qui fait rigoler dans les bistrots, d'un côté et de l'autre pas la liberté, j'ai passé l'âge du père Noël, mais un peu plus d'icelle, ben brusquement ça m'a rappelé quelque chose... Pas vous ? Oh hurlez pas, j'en suis pas, même que cette idée vient juste de me venir, si, si ; de toutes manières, je sais pas, je cherche comme vous, moi, à la Pajala.
Parce qu'un truc qu'est sûr, par contre, c'est qu’on a intérêt à la trouver vite vite la solution. Parce que sinon on a intérêt à s'exercer à obéir. Tiens le vieux lion, y vient de rugir, et son lionceau qui porte les lettres aussi. Ah bon, vous saviez pas qui étaient de la même famille ? Ben ça alors !
Bien à vous,
Pajala.
