L'ours blanc nous narrait son expérience et sa philosophie sur le forum bulle-immobilière.org . Il nous a quitté le 10 février 2007.

C'est pour lui rendre hommage que j'ai retranscrit ici ces contributions les plus intéressantes.


Gold

FR : 140 villes restent de marbre face à la loi SRU (Libération, 21/11/2005)

« les 20% de logements sociaux, c'est quoi, »


Du théâtre !
Comme vous l'avez remarqué on ne sait même pas par rapport à quoi. Et puis la définition de "social" dans logement social, c'est quoi exactement ?

« Les grandes villes rattrapent. Quelle que soit la couleur politique du maire, les grandes villes jouent en général le jeu de la loi SRU, »


Bien sûr !! Et c'est que c'est facile de "rattraper" (franchement, ça vous amuse pas cette langue (?), qu'on se fout de notre gueule avec ?) dans les grandes villes ! C'est que ça a des quartiers les grandes villes, et que le résultat sur le papier dans les chiffres il est facile de l'avoir tout bon....
Cela dit, je suis favorable à foutre la paix aux gens. Parce que forcer à vivre ensemble des gens qui ne s'aiment pas, ça peut favorablement s'appeler l'amour obligatoire. Le viol quoi. Et qu'après le viol y en a un qu'est pas content et l'autre tout penaud.
Vous voyez, vu comme ça, c'est différent du "social" "rattrapage" et tout.
Comme quoi, la langue :wink:
Cordialement

« Le projet de Loi SRU vise à conforter la politique de la ville et à assurer une offre d'habitat "diversifiée et de qualité".
A compter du 1er janvier 2002, les communes de plus de 1 500 habitants situées dans des agglomérations de plus de 50 000 habitants qui n'atteignent pas le seuil de 20 % logements locatifs sociaux devront à la fois payer une contribution de 1 000 francs par logement manquant et s'engager dans un plan de rattrapage. Ce prélèvement sera versé en vue de réalisations de logements sociaux et de restructuration urbaine. »


Remarquez comme c'est beau !

Il semble, mais c'est une langue qui ressemble au français mais ken est pas vraiment, du créole administratif je dis moi, il semble, donc, que ça serait par rapport au locatif les 20 % ; et que là, je vous remercie au passage d'y avoir attiré mon attention parce que j'y avais pas pensé, ça devient encore plus rigolo leur truc ! Que si la commune elle aurait que des copropriétaires occupants, les 20 % de zéro locatif ça ferait zéro et on serait en règle ? J'ai dû mal comprendre le créole, à votre tour de me traduire, ça me fatigue ces trucs.
Mais si c'est ça, alors il va falloir que le Lancelot il intervienne vite vite avec son cocktail à contrainte.
Cordialement.